N'y a-t-il vraiment eu que deux grandes écoles au sein du mouvement réformiste tunisien ? Celle, rigoriste et identitaire inspirée par Sidi Brahim Erriahi et celle plus ouverte, plus à l'écoute du progrès occidental, animée par le général Khaireddine.
Des courants d'idées novateurs mais indépendants de l'une et de l'autre ont-ils existé à côté d'elles, ou même en opposition avec elles ?
Soliman Al Harairi, dont la vie et l'œuvre constituent l'objet de cette étude, pourrait être l'une des réponses à cette question.