إنّ الحياة تبدأ فعليّا في سنّ الأربعين، حتّى ذلك الوقت، أنت تقوم بمجرّد أبحاث. كارل غوستاف يونغ صاحب هذه المقولة. إذن، فأمامك عمليّا اثنا عشر عاما بالتمام و الكمال، أظنك خلالها ستجد ضالتك، و ستجد نفسك.

" يا لك من متحدّث بارع، لكن حيلك هذه لن تنطلي عليّ. تريد تغيير الموضوع. ثمّ إن كنت تؤمن حقّا بهذه المقولة، لم تحلم بالعودة لسنّ الشباب ؟ "

" لتغيير الإمكانيّات، و التخفّف من المسؤوليّات." صمت قليلا يفكّر كأنه تذكر السبب الحقيقيّ.

" لتجنّب أسوء قرار اتخذته طيلة حياتي.."

Je t'écris pour la centième fois. Mais tu ne recevras jamais mes lettres parce que je ne te les enverrai pas. "Pourquoi?"... Tu me connais assez pour savoir que ce n'est pas une question de courage pour le fou que je suis. C'est bien plus profond que cela. Et je ne veux en parler à personne... du moins pas maintenant.

Tu sais? Ces-temps-ci ton visage enfantin ne me quitte point... et à vrai dire je ne sais plus si c'est mon amour pour toi qui me joue des tours ou si c'est la morphine. Et au point où je suis, je regrette de te dire que ça m'est égal.

Paul Edgecombe, ancien gardien-chef d’un pénitencier dans les années 1930, entreprend d’écrire ses mémoires.

Il revient sur l’affaire John Caffey – ce grand Noir au regard absent, condamné à mort pour le viol et le meurtre de deux fillettes – qui défraya la chronique en 1932.

La Ligne verte décrit un univers étouffant et brutal, où la défiance est la règle. Personne ne sort indemne de ce bâtiment coupé du monde, où cohabitent une étrange souris apprivoisée par un Cajun pyromane, le sadique Percy Wetmore, et Caffey, prisonnier sans problème. Assez rapidement convaincu de l’innocence de cet homme doté de pouvoirs surnaturels, Paul fera tout pour le sauver de la chaise électrique.