Vie que je t’aime !

La vie, c’est lorsque vous mettez de la musique tellement fort, que vous ne pouvez plus vous entendre penser…

Quand vous enlacez vos enfants à ne plus pouvoir les relâcher…

Quand vous ouvrez les fenêtres,  et que vous respirez  l’air frais à plein poumons….

C’est aussi votre petit déjeuner dans un café que vous adorez.

Votre première cigarette du matin en pensant à vos projets de la journée.

Oui, c’est ça la vie, mais malheureusement pas que,  car la vie c’est aussi lorsque vous avez un cancer alors que vous ne vous en doutiez pas.

Et lorsque vous décidez de le vaincre alors que vous n’en avez pas la force.

Cette force qu’il vous faut pour pouvoir continuer votre chemin.  

Je t'écris pour la centième fois. Mais tu ne recevras jamais mes lettres parce que je ne te les enverrai pas. "Pourquoi?"... Tu me connais assez pour savoir que ce n'est pas une question de courage pour le fou que je suis. C'est bien plus profond que cela. Et je ne veux en parler à personne... du moins pas maintenant.

Tu sais? Ces-temps-ci ton visage enfantin ne me quitte point... et à vrai dire je ne sais plus si c'est mon amour pour toi qui me joue des tours ou si c'est la morphine. Et au point où je suis, je regrette de te dire que ça m'est égal.

Quand la lourde porte métallique se referma derrière moi dans un claquement auquel rien ne m'avait habitué, je me suis retrouvé face à un groupe hétéroclite : des jeunes, des vieux, des balafrés, des visages crispés et d'autres étonnamment clairs. Une odeur insoutenable de pisse et de vomi envahissait ce lieu sombre. Il y avait juste la place pour me tenir debout face à ce groupe. Ma chemise blanche et mon pantalon marron clair bien repassé juraient avec l'atmosphère régnante. j'avais vingt ans.

C'était le temps de l'innocence, dans leur villa de bord de mer, à Saint Germain : des jours tranquilles entre baignades, parties de basket et surprises-parties. Le mariage sonne la fin de ce paradis originel, Raja doit supporter les tracas du quotidien et trompe l'ennui en dévorant les romans d'amour. Mais le pire est à venir, le jour où elle se décidera enfin à ouvrir un compte Facebook ...

Ce roman raconte le mal de vivre, dans une société en perte de repères, d'une femme immature et fragile, prise au piège des réseaux sociaux où se cachent arnaqueurs, faux-profils, psychopathes et prédateurs de toutes sortes.

Eva est une jeune Tunisienne de vingt-neuf ans assoiffée d'amour et de bonheur absolu. Elle aurait pu mourir dans les bras de Yassin, elle aura connu la raison de son existence.
L'histoire d'Eva se déroule en une seule journée qui commence au réveil et finit par le sommeil, telles nos vies de la naissance à la mort.
Eva n'est pas seulement une histoire d'amour, mais aussi une leçon de vie. À la fin du livre, Eva prend la parole pour nous faire part de ses ressentis et de son expérience avec l'amour.

Evelyn Hayman avait débarqué à l’île de Lovongo Cay dans l'intention d'en faire son lieu de Stand-By. Un endroit isolé du monde où elle pouvait simplement attendre le bon moment pour partir.

Au contact de ses mystérieux voisins du rocher, elle finit pourtant par découvrir un secret qui défiait toute logique.

Un secret qui allait décider de sa propre destinée.

Avec "L'éclat du silence", un titre sous forme d'oxymore, cette figure de style qui consiste à allier deux mots de sens contradictoires, l'auteure nous entraîne dans les méandres de son âme, de sa vie, de ses souvenirs et de ses espoirs, à travers maintes situations, réelles ou absurdes, où le silence de la contemplation fait écho au brouhaha de l'existence.

Un livre sur des personnes ordinaires, qui ne figurent pas dans les livres d'histoire, mais qui, sans le savoir, nous sauvent parfois du monde qui nous entoure, et parfois, de nous-mêmes. Ce sont ces gens-là que nous aimons et qui méritent une place dans des milliers de livres tant ils nous sont précieux.

La quête de l'inconnu conduit toujours à une découverte. Un malheur, un bonheur, tout peut basculer instantanément dans le quotidien. L'un et l'autre, se présentent toujours sans qu'on y soit préparé et, à la vitesse grand V. Le simple voyage de Mayline, allait rencontrer bien des rebondissements, elle ignorait où cela allait la conduire. Malgré tout, elle décida quand même d'aller à la rencontre de cet inconnu.

Brasilia Café est mon premier roman et en ce sens, il constitue le mythe des origines. Son relatif succès avait été très inattendu pour moi, mais j'en avais découvert la source : C'est qu'il répercutait de manière poétique et spontanée le souvenir d'une époque heureuse et prospère pour la Tunisie. C'est à la demande de mes amis et de mes lecteurs qui n'avaient pas eu la possibilité de le trouver en librairie que j'entreprends une seconde édition. Leur frustration coïncide avec la mienne car c'était écrit d'un seul jet, comme on se délivre d'un secret longtemps contenu, et que je regrettais après coup de ne pas avoir pu développer quelques aspects, combler certaines lacunes et corriger certaines défaillances. C'est maintenant chose faite !