حين تقرأ الرواية، لا ترتقب النهايات.. فقد لا تكون ثمّة نهاية أصلا.. وقد تختفي الصفحة الأخرة من الكتاب..

حين تقرؤها، وتهب نسائم الريح على وجهك، أو يطرق شيء من الإحساس قلبك، أو تذرف دمعة واحدة، أوتبتسم لحظة حبّ.. فتلك هي الرواية.. مشروع حياة، شريط ذاكرة مضت، أوحياة كانت، أو ستكون..

لا تسل متى حدث هذا، أو كيف.. إن كان قد حدث فعلا أو لم يحدث.. لا تسل عن أوجاع كاتبها، كما لا تسأل عن أوجاع أمّك حين ولدتك.. بعض الأوجاع لا نقاومها.. لا تسل ولا تهتمّ.. فقط، عش ما تقرأ..

عن أي حرب شريفة نظيفة أتحدث تراني؟ الحرب هي الحرب و الضحايا هم الضحايا فهل هناك شرف في قتل الإنسان لأخيه الإنسان؟؟

ولا تخلو فكرة الحرق في اللهجات المغاربية على اختلافها ومنها الجمع "حراقة"، من معنى الخرق و تجاوز الحدود الشرعية للبلدان الفارقة في الأزمات بشتى انواعها السياسية و الإقتصادية و الإجتماعية. 

كاوس، هي قصّة شعب دمّرته الحرب، رسالة شعب يستغيث .. أو قصّة شخصية ورقية غادرت الورق لتستوطن القلوب والعقول وتحفّزها على الأمل والمقاومة، لكنّها قصّة نضال تستحقّ أن تكون فلما سينمائيا يصوّر مأساة سوريا ، ضياع وفقدان ووجع. أروى حامد خليل، شخصيّة تخاطبك، تتحدّث عنك في زمان ما وعن كاوس التي تسكنها فكادت تودي بها لعلّها سكنت كلّا منّا و أغرقته حتّى غيّبته عنّا.. أو أودت به إلى شرفة الانتحار فما عاد من تلك الهوّة.⁩ فهل ستنقذ رؤى العربي التونسية ابنةَ دمشق من السحيق وتعيدها للحياة !؟ لعلّها سوريا تنادينا ! فهل سنلبّي النداء!

"رواية تحملك من خلال شخصية حفيّظ في رحلة عبر تاريخ تونس في فترت الاستعمار و تحديدا فترة ما بين الحرب العالمية الأولى و قبيل استقلال تونس.. رواية تذكرنا برجال ضحوا بأعز ما لديهم من أجل وطنهم.. لكن هل رد لهم هذا الوطن الجميل؟" رؤوف الجمالي

C'est l'histoire d'une course éperdue contre des passions impossibles. Un jeune homme tourmenté s'enfuit et rejoint un ami parti accompagner quelques touristes dans le Sahara. Parcourant l'immensité brûlante et les anciennes cités des sables, le héros tente de se délester des images qui le poursuivent : un premier amour déçu, le rictus affreux d'une femme qui l'a trop aimé, un père honni par la société mais était-il vraiment coupable ? Seule la tendre attention des enfants, lorsque le soir venu il s'improvise conteur, console son errance.

Dans les deux premiers volumes du triptyque des Califes maudits, Hela Ouardi nous avait fait revivre l’élection mouvementée du premier calife, Abû Bakr, et sa guerre totale contre les tribus arabes révoltées, suite de combats qu’il avait habilement qualifiés de « guerres d’apostasie ». Ce troisième et dernier volume nous plonge dans une véritable enquête policière, où se mêlent tout autant le politique et le religieux : le deuxième calife, ‘Umar, est assassiné en pleine mosquée, devant des dizaines de témoins, mais personne n’a rien vu ! L’assassin, un esclave perse, s’est, dit-on, donné la mort sitôt capturé, ou peut-être a-t-on voulu le faire taire ?

Un premier roman dynamique, où même les drames se prêtent à l’humour.

De 1930 aux années 2000, de mère en fille, de Haïfa à Genève en passant par Beyrouth, quatre femmes déterminées et attachantes nous racontent la panique des départs dus à la guerre et leur exigence de liberté. Les palpitations du Moyen-Orient irriguent leurs récits. Naïma est mariée à douze ans. Ema, étudiante hippie, se confronte à la guerre civile. Dara fugue pour retrouver le Liban de ses origines. Et la petite Lila peine à trouver sa place dans cette famille tourbillonnante. Toutes, face à l’Histoire et à la violence des hommes, cultivent la vitalité renouvelée qui leur permet de se reconstruire dans l’exil.

Le jeune Adel voit sa vie basculer lorsque ses parents divorcent. Au même moment, la guerre frappe son pays, le laissant livré à lui-même. Il rencontre alors un scarabée géant qu'il nomme Darwin ainsi que Tardigrade, avec lesquels il se lie d'amitié.

Lorsqu'il est enlevé de son village et amené devant un cheikh, il n'a d'autre choix que de devenir un garçon responsable.

Dans la bonne ville de Santa Clara, celle qui produit le meilleur rhum du pays, personne n’est au courant de la révolution que le dictateur Alvaro Benitez a menée il y a une vingtaine d’années. Les habitants vivent et cultivent au gré des sérénades d’Ibrahim Santos, musicien météorologue. Alors forcément, l’intrusion des troupes armées révolutionnaires, et plus encore, l’arrivée d’un jeune ingénieur agronome brillantissime, vont quelque peu bousculer les habitudes…

Sur le mode du conte, avec une pincée de réalisme magique, Yamen Manai moque ici les prouesses de nos avancées technologiques et parodie allègrement ces dictatures modernes qui souvent perdurent.

Prix Biblioblog

Prix de la Bastide

Prix Alain-Fournier

Comment le hasard a-t-il choisi l’univers rigoureux des mathématiques pour réunir ceux qu’il a séparés onze ans auparavant à cause d’un œuf ? Comment un ouvrier sourd a-t-il fait pour aider une mère à retrouver son enfant qu’elle pensait perdu à jamais ? Et qu’est venu faire ce chat de Sidi Bou Saïd dans tout ça ?

Yamen Manai mêle ici ce qu’on est spontanément tenté de séparer : science et folklore, rêve et réalité, Nord et Sud… Dans ce monde aussi riche en paramètres qu’en particules qui le composent, peu importe l’univers dans lequel on avance, notre marche est toujours celle de l’incertitude.

Prix Comar d’Or

Prix des Lycéens Coup de cœur de Coup de Soleil